03/02/2011
Edouard GLISSANT
Te dire les mots et la moiteur du frémissement
te dire qu'il faut pleurer la grande eau
l'ilet long de toi à moi comme un trouble volatile
et quelques mots insignifiants de présence et de tristesse.
Juste le souvenir
ne jamais t'oublier
"J'ai découvert qu'on peut sortir d'un jardin, ou d'un chagrin, en faisant la rencontre d'une coccinelle."M Vaillant
20:54 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
je touvre ce poeme magnifique et la photo fait partie du texte tant elle parait être plus que la représentation, une émanation de ce qu'il exprime. Bravo, le blog est par ailleurs fort bien fait et intéressant. Le mien est plus austère mais l'idée est la même
Pierre-Marie
Écrit par : ferveur | 04/02/2011
très beau! merci pour ces mots donnés en partage et ce nom d'un grand poète que nous n' oublierons pas.
Écrit par : if6 | 04/02/2011
Merci Pierre-Marie de ce passage
Effectivement l'idée est assez semblable
et les questions qu'il pose sont aussi les miennes
A se revoir
JLG
Écrit par : JLG | 06/02/2011
Non M nous ne l'oublierons pas
et Merci de ta fidèle amitié
Amitié à toi
JL
Écrit par : JLG | 06/02/2011
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