12/10/2006
Petite prose gratuite prétendument sans prétention
J’ai aussi mis des cailloux plein mes poches.
Mis du feu dans mes yeux noirs pour avoir l’air réveillé.
Rencontré des tas de gens pour faire croire à ma civilité.
Et puis j’ai regardé…les brumes inattendues du soir soulever les massifs.
Je me suis longuement interrogé sur qui poussait l’autre, du ciel ou de la terre…
Pour conclure à la beauté…
Et à l’absence du mensonge.
19:34 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Superbe !
Écrit par : ile | 13/10/2006
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