24/04/2011
Ben, dis donc !
Dans la brume des souvenirs
Mon corps se défroisse
Comme la peau d’un nouveau-né
Qui ne sait pas encore
Qui sait déjà trop
Accumuler les rides de la vie
Comme une rivière s’en saisit
S’étonner encore
De la mémoire qui nous forge
Extraction au forceps
Des poussières de rêve
Le silence ne s’apprend
Que de la parole de l’autre
que d'un rêve écorché
jamais cicatrisé
réverbère de nos nuits sans sommeil
06:59 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
J'aime beauoup
Écrit par : lutin | 02/05/2011
Merci Lutin
Écrit par : JLG | 17/07/2011
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