24/05/2008
Humeur tu meurs
Vos larmes ont inondé mes poumons
Vos cris me sont devenus inaudibles
Et les acouphènes de vos plaintes
Restent stériles aux berges de mon cœur
Je croyais vous connaître
Et je me noie dans les boues épaisses
De vos lamentations insignifiantes
Votre impertinence vous a quitté
Votre conformisme vous étouffe
Et crèvera le réveil des terres endormies
Vous ne vous voyez même plus
Dans votre médiocre (in)suffisance
Et votre révolte est un leurre
Je ne suis pas de ce monde
Vous n’êtes pas mes amis
Et je vis pourtant sans vous
Avec mes cris arrachés à ma chair
Mon indifférence ne vous nourrira pas
Elle se décline en une profonde déception
De la confiance que je n’aurai plus
Je n’ai plus de larmes
Plus de mots
Que de la colère
12:28 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
J'espère que ça va aller JL la colère emporte tout sur son passage , une vague énorme puis ensuite le calme revient.
bien à toi.
Écrit par : if6 | 02/06/2008
Bien le bonjour !
Écrit par : . | 01/07/2008
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